- FICHE TECHNIQUE
Matériel disponible en HD
1830, c’est par une belle journée d’été qu’Aurore rend visite à ses cousines. Au cours d’une balade près du lac, les jeunes filles sont abordées par des cavaliers. Parmi eux se trouve Raphaël de Lorris, un homme totalement en contradiction avec les convictions d’Aurore. Lui aime la décadence et le libertinage, elle, est une femme pieuse, romantique et réservée. Tout les oppose, pourtant, ils tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Une passion qui finira par les détruire à petit feu.
Productions déléguées :
Parc Film, Columbia France
Distribution France :
Columbia France
Exportation / Vente internationale :
Editions Montparnasse
Assistants à la réalisation :
Carl Hathwell, Jean Lefèvre
Productrice :
Mag Bodard
Scénariste :
Nina Companeez
Cadre :
Robert Foucard
Montage :
Nina Companeez
Décors :
Claude Pignot
Musique additionnelle :
Vincenzo Bellini
Dialoguiste :
Nina Companeez
Ingénieur du son :
André Hervée
Directeur de la photo :
Claude Lecomte
Directeur de production :
Philippe Dussart
Scripte :
Hélène Sebillotte
Costumes :
Gitt Magrini
Long-métrage
Genre(s) : Fiction
Sous-genres : Comédie dramatique
Thèmes : Érotisme
Langue de tournage : Français
Autre pays coproducteur : France
EOF : Non précisé
Nationalité : 100% français (France)
Année de production : 1971
Sortie en France : 02/04/1971
Durée : 1 h 50 min
Etat d’avancement : Sorti
Numéro de visa : 37757
Visa délivré le : 24/03/1971
Agrément : Inconnu
Formats de production : 35 mm
Type de couleur(s) : Couleur
Cadre : 1.66
Format son : Mono
- Critiques & Commentaires
« L’élégance racée de la réalisation éloigne les fantômes du naturalisme et confère au film un charme profond et une émotion discrète » Lettres Françaises
« Michel Deville et Nina Companeez ont ressuscité « l’air d’époque ». A tel point qu’on se prend à penser que, si Musset avait tenu une caméra, il eut réalisé ce Raphaël, qu’il eut intitulé, comédie : « Eblouissement d’Aurore », proverbe : « le pire n’est pas toujours sûr ». » L’Obs
« Raphaël devient, alors, ce qu’il est de toute façon : un chef d’œuvre » La Croix
« Cette histoire échevelée, cet incroyable mélodrame, ils le racontent exactement comme on l’eût raconté à l’époque où ils se déroulent, sans craindre le ridicule, sans chercher à tricher, sans jamais provoquer la complicité narquoise du spectateur. » Le Monde
« A damner les anges » L’Express