L’autrichienne

Une femme enfermée à la prison de la Conciergerie, dans la plus lugubre des cellules. Dans ce cachot, deux gendarmes derrière un paravent. Cette femme a trente-sept ans, mais déjà ses cheveux sont blancs. Elle est malade, affligée de terribles hémorragies. Cette femme se nomme Marie-Antoinette de Lorraine, d’Autriche. Un an auparavant, elle était encore reine de France. Nulle n’a été aussi adulée, encensée, adorée. Au palais de Versailles, six mille personnes la servaient comme une idole. Aujourd’hui, pour la République de 1793, elle n’est plus que la veuve Capet. Ce que nous fait vivre le film de Pierre Granier-Deferre, ce sont quatre jours de la vie de Marie-Antoinette. Les derniers. Une agonie qui est aussi un calvaire. Nul recours à l’imagination. Il s’agit d’une tragédie sans égale proposée par l’Histoire.

Productions déléguées :
Lira Films, Paradise Productions, Danon Audiovisuel

Distribution France :
Neuf de Cœur

Exportation / Vente internationale :
Editions Montparnasse

Long-métrage

Genre(s) : Fiction
Sous-genres : Historique, Drame
Langue de tournage : Français
EOF : Non précisé
Nationalité : 100% français
Année de production : 1990
Sortie en France : 19/09/1990
Durée : 1 h 38 min
Etat d’avancement : Sorti
Numéro de visa : 68717
Visa délivré le : 27/03/1990
Agrément : Inconnu
Formats de production : 35 mm
Type de couleur(s) : Couleur
Format son : Stéréo